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Justice et paix dans un Québec souverain

par Jacques Lamarche
St-André Avellin, Québec


Montréalais de naissance, de cour et d’éducation, j’ai grandi dans la métropole canadienne et vécu les 25 dernières années dans un fascinant petit village de l’Outaouais.


Québec aspire à s souveraineté; il désire l’obtenir, par les voies démocratiques, d’ici la fin du présent siècle.

Les autochtones

On a su, jadis en 1701, négocier la Paix de Montréal avec les 1300 délégués des 30 tribus indiennes de l’Amérique du Nord et signer un traité de neutralité avec les Iroquois. De son propre chef, Québec a su négocier dans la paix des ententes avec les Huron, les Inuits, les Montagnais et même les Mohawks qui disposent maintenantde leurs propres forces policières. La stupidité d’une municipalité en mal d’agrandir son club de golfe, en 1991, a précipité la Crise d’Oka. Dans un Québec souverain, doté de sa propre Cour suprême, on renouera avec nos traditions de paix négociée. Les Autochtones ne d”ependront plus de la Loi canadienne des Indiens quiles assigne à des Réserves arbitraires et les assujettit à la pitance de subventions fédérales.

Les immmigrants

Les ambassades québécoises centreront leurs efforts sur la Francophonie et maintiendront leurs relations avec les autres grandes communautés. Tous les immigrants auront, avant le départ, que notre pays en est un de langue français. Rendus ici, ils recevrônt le soutien pour s’intégrer à notre commmunauté, y trouver du travail et le respect de leur culture. Ceux qui préférent vivre en anglais aouront TOUT le Canada à leur disposition.

Les Anglos-québécois

Ils disposent déja de leurs écoles, universités et hôpitaux avec leurs propres adminstrateurs. Ils ont crée de nombreuses institutions privées qui continueront, sans intervention de l”Etat. Le Québec a sa langue officielle comme la France, l’Italie, l’Angleterre ou l”Allemagne, ce qui n’a jamais empêché les gens qui n’utilsent pas cette langue d’y vivre et prospérer tout en enrichissant la langue officielle de leur pays. Tous les citoyens québécois auront leur passepart, le déteneurs d’aurtres passeports seronts les bienvenus. Les chéques de bien-être, retraite, allocation familliale seront quérbécois et serviront aux même fins que les anciens chéques “canadiens”. L’afficahge français ne prohibe pas l’utilisation de toutes autres langues pour promotions, ventes, menus ou services.


Le Peaceweb presente les trois côtés du question: fédéraliste, souverainiste, et autochtone.